Un peu de sang grec coule dans les veines de mes petits enfants, alors la salade grecque n’a plus de secret pour moi !
Pour 4 personnes, il vous faut
2 grosses tomates
1/2 concombre découpé en dés
1 poivron vert et 1 rouge, épépinés et coupés en fines tranches
1 gros oignon coupé en fines tranches
150 g de feta en cube
Origan
zeste et jus d’1/2 citron
50 g d’olives noires (facultatif)
Découper les tomates en petits dés et les mettre dans un saladier.
Ajouter le concombre, le poivron vert et les olives.
Mélanger avec la moitié de l’oignon et la feta coupée en dés.
Disposer sur le dessus de la salade les restes d’oignon et de feta.
Ajouter le zeste et le jus de citron, assaisonner avec l’huile et l’origan, sel poivre.
Ma belle fille rajoute des croutons de pain rassis…
Mélanger délicatement et servir. C’est un beau voyage !
C’est déjà loin… et cela ne restera pas un souvenir mémorable.. Même le trophée n’est pas top !
Pourtant, Edouard Baer et Dany Boon se sont démenés pour faire sourire ce public triste et blasé (??)
Rien n’y a fait.. leurs vannes et bons mots sont tombés dans une énorme mare.
Même Julie Gayet est restée mutique ! on se demande pourquoi..
On les aime pourtant, nos acteurs et actrices, mais on a vraiment l’impression que tout les ennuie, que cette cérémonie est un véritable pensum, une obligation, une façon de se montrer.
Et les récompenses, dans tout ça ? seules les petites et petits « fraîchement » arrivés dans le métier arrivent à nous sensibiliser malgré leurs discours de remerciements dédiés à leurs proches, leur producteur, leur réalisateur, et j’en passe..
Nous aimerions aussi récompenser les acteurs populaires qui ne sont jamais cités.
Nous sommes admiratifs du travail de ceux qui travaillent dans l’ombre et qui sont pourtant nécessaires au succès des films. Il faut les mettre en avant, et la cérémonie des Césars est un bon moyen de les connaitre, mais de grâce, réduisez les discours, transformez cette fête en super fête.. et surtout, souriez !!!
Le Périgord est une région où il fait bon vivre, où les paysages sont magnifiques, où la gastronomie est renommée, bref je l’adore et ne demande qu’à y retourner.
Mais savez vous qu’il existe quatre régions, de couleurs différentes ?
Le Périgord blanc, autour de Périgueux et de la Vallée de l’Isle
Le Périgord noir, avec sa jolie ville de Sarlat, ses châteaux, ses forêts, sa vallée de la Dordogne et de la Vézère,
Le Périgord vert, avec sa Venise verte, Brantôme, et le charmant village de Bourdeilles, au bord de la Dronne.
Le Périgord pourpre, pays de Bergerac, des bastides et du vignoble.
Peut être mes prochaines vacances ?
Recherche copine pour m’accompagner….
Hôtel Moulin de L’Abbaye à Brantôme
Hôtel Villa des Consuls
Tournoi du Grand Chelem le plus ancien, Wimbledon a été créé en 1877.
Il se dispute sur gazon, surface délaissée par le tennis moderne (10 tournois, masculins et féminins confondus, en 2014, contre 72 sur dur et 38 sur terre battue).
Il entretient son originalité et monnaye à prix d’or sa rareté.
Cette année, les télévisions britanniques ont dépensé
52 M€ pour en acquérir les droits de diffusion. Chiffre astronomique comparé aux 17,50 M€ demandés par Roland-Garros à France Télévisions et Eurosport.
Obligation de jouer en blanc.
Depuis 1922, le cours central dispose d’un box royal réservé au monarque, à sa famille et à ses invités !
Jusqu’en 2003, les joueurs devaient s’incliner ou faire la révérence à leur entrée sur le court, avant que le Duc de Kent ne lève cette obligation. Désormais, elle ne s’applique qu’en présence de la Reine Elizabeth II.
Interdiction de mettre de la publicité sur les bâches, ce qui n’empêche pas la participation de précieux partenaires tels que Rolex, Evian ou Ralph Lauren.
Dernière excentricité, chaque année, près de 28 tonnes de fraises et 7000 litres de crème fraiche sont engloutis pendant la quinzaine !
Magie de Wimbledon….
*source Le Figaro – Nicolas Cerbelle
Aujourd’hui, l’île de Beauté n’est pas alimentée en gaz.. bien sûr, il y a des barrages, des éoliennes et des panneaux photovoltaïques pour compléter le mix énergétique.. il y a même des câbles sous marins reliant l’île à l’Italie et la Sardaigne, qui lui fournissent 30 % de sa consommation électrique… mais pas de gaz !
Alors EDF songe sérieusement à reconvertir deux centrales thermiques ;
Un projet de gazoduc enfoui en traversant la Corse du nord au sud sur une distance d’environ 180 kms est envisagé.
Montant total incluant la réhabilitation de la centrale de Vazzio, l’installation d’une barge et la pose du gazoduc : 1 milliard d’euros..
Peut être en 2020 ???
*Source Le Figaro
« Nafeo faa ipoipo » (quand te maries tu ?) est un tableau de Paul Gauguin, le plus cher du monde..
Et devinez quel est le pays qui l’a acheté ??? le Quatar, et encore le Qatar !!!
L’émirat des sables l’a acheté en privé autour de 300 millions de dollars à son propriétaire suisse.
Il détrône le record des « Joueurs de Carte » de Cézanne, déjà parti pour ce riche pays en 2011 pour la modique somme, non confirmée, de 250 millions de dollars..
Avant que tous nos peintres français n’atterrissent dans les émirats arabes, courez vite voir la splendide exposition sur Gauguin à la Fondation Beyeler de Bâle jusqu’au 28 juin 2015.
On reste chez nos amis suisses..
Ils ont voulu prendre les devants en cas de catastrophe nucléaire et ont construit de nombreux abris anti atomiques… mais pas d’attaque nucléaire en vue, alors cet hiver, Genève a ouvert les lourdes portes blindées d’un bunker pour accueillir les sans abris !
Depuis 1978, l’obligation pour tout bâtiment résidentiel suisse de comporter un abri antinucléaire a été étendue dans tout le pays. C’est un cas unique en Europe.
Il y en a sous les écoles, les stades ou les hôpitaux, pour certains d’une capacité de plusieurs centaines de places.
On recense 300 000 abris pour accueillir l’ensemble de la population en cas d’urgence.
Alors, comme aujourd’hui, la menace de conflit s’est estompée, ils servent aux demandeurs d’asiles et à toute personne dans le besoin.
Mais ces derniers ne sont pas contents.. « arrêtez les bunkers, nous avons besoin d’air frais » demandent ils !
Et chez nous, ça se passe comment ???
*source Géo
Vous avez certainement déjà vu ces jolies petites camionnettes transformées en restaurant et qui vous proposent toutes des choses délicieuses. On les appelle les « food trucks » (ne pas confondre avec junk food..)
Il y a « la marmite mobile » pour la gastronomie
« chez Greg », le plus ancien
« Mimi Galette », le plus dépaysant
« super Cuisine », le plus diététique
« Pauline et Valentine », le plus bio
Et encore « le Camion qui fume »
« le Canard Huppé »
Ils se multiplient comme des petits pains, pour notre plus grand bonheur !
Ces camion-restaurants, très abordables mitonnent de la super cuisine à base de bons produits.
Vous pouvez les pister sur le site « Pouet Pouet »
Bonne idée pour se lancer dans la restauration..
J’aimerais bien les voir dans mon quartier. j’adore !!
